Bonjour désolé de vous dérangez, mais j’ai un devoir à rendre pour demain et je n’arrive pas trop à faire ce genre de chose pourriez vous m’aidez à faire mon de
Français
samsammm
Question
Bonjour désolé de vous dérangez, mais j’ai un devoir à rendre pour demain et je n’arrive pas trop à faire ce genre de chose pourriez vous m’aidez à faire mon devoir s’il vous plaît ?
Il faut que je ceee un axe de commentaire sur ruy blas.
Voici le texte :
RUY BLAS
Hier, il m’a dit : — il faut être au palais demain. Avant l’aurore. Entrez par la grille dorée.
En arrivant il m’a fait mettre la livrée,
Car l’habit odieux sous lequel tu me vois,
Je le porte aujourd’hui pour la première fois.
DON CÉSAR,
lui serrant la main.
Espère !
RUY BLAS
Espérer ! Mais tu ne sais rien encore.
Vivre sous cet habit qui souille et déshonore,
Avoir perdu la joie et l’orgueil, ce n’est rien.
Etre esclave, être vil, qu’importe ! — écoute bien.
Frère ! Je ne sens pas cette livrée infâme,
Car j’ai dans ma poitrine une hydre aux dents de flamme Qui me serre le cœur dans ses replis ardents.
Le dehors te fait peur ? Si tu voyais dedans !
DON CÉSAR.
Que veux-tu dire ?
RUY BLAS
Invente, imagine, suppose.
Fouille dans ton esprit. Cherches-y quelque chose
D’étrange, d’insensé, d’horrible et d’inouï.
Une fatalité dont on soit ébloui !
Oui, compose un poison affreux, creuse un abîme Plus sourd que la folie et plus noir que le crime, Tu n’approcheras pas encor de mon secret.
— Tu ne devines pas ? — hé ! Qui devinerait ?
Zafari ! Dans le gouffre où mon destin m’entraîne Plonge les yeux ! — Je suis amoureux de la reine !
DON CÉSAR.
Ciel !
RUY BLAS.
Sous un dais orné du globe impérial,
Il est, dans Aranjuez ou dans l’Escurial,
— Dans ce palais, parfois, — mon frère, il est un homme Qu’à peine on voit d’en bas, qu’avec terreur on nomme ; Pour qui, comme pour dieu, nous sommes égaux tous ; Qu’on regarde en tremblant et qu’on sert à genoux ; Devant qui se couvrir est un honneur insigne ;
Oeuvre du Domaine public – Version retraitée par Libre Théâtre 18
Qui peut faire tomber nos deux têtes d’un signe ; Dont chaque fantaisie est un événement ;
Qui vit, seul et superbe, enfermé gravement Dans une majesté redoutable et profonde,
Et dont on sent le poids dans la moitié du monde.
Eh bien ! — moi, le laquais, — tu m’entends, eh bien ! Oui, Cet homme-là ! Le roi ! Je suis jaloux de lui !
DON CÉSAR
Jaloux du roi !
RUY BLAS
Hé ! Oui, jaloux du roi ! Sans doute. Puisque j’aime sa femme !
DON CÉSAR
Oh ! Malheureux !
Sachant que mes deux sous parti sont
-héros romantique
Et
- Fatalité de son destin
Merci à vous en espèrent que vous pourriez m’aider.
bonne journée ;)
Il faut que je ceee un axe de commentaire sur ruy blas.
Voici le texte :
RUY BLAS
Hier, il m’a dit : — il faut être au palais demain. Avant l’aurore. Entrez par la grille dorée.
En arrivant il m’a fait mettre la livrée,
Car l’habit odieux sous lequel tu me vois,
Je le porte aujourd’hui pour la première fois.
DON CÉSAR,
lui serrant la main.
Espère !
RUY BLAS
Espérer ! Mais tu ne sais rien encore.
Vivre sous cet habit qui souille et déshonore,
Avoir perdu la joie et l’orgueil, ce n’est rien.
Etre esclave, être vil, qu’importe ! — écoute bien.
Frère ! Je ne sens pas cette livrée infâme,
Car j’ai dans ma poitrine une hydre aux dents de flamme Qui me serre le cœur dans ses replis ardents.
Le dehors te fait peur ? Si tu voyais dedans !
DON CÉSAR.
Que veux-tu dire ?
RUY BLAS
Invente, imagine, suppose.
Fouille dans ton esprit. Cherches-y quelque chose
D’étrange, d’insensé, d’horrible et d’inouï.
Une fatalité dont on soit ébloui !
Oui, compose un poison affreux, creuse un abîme Plus sourd que la folie et plus noir que le crime, Tu n’approcheras pas encor de mon secret.
— Tu ne devines pas ? — hé ! Qui devinerait ?
Zafari ! Dans le gouffre où mon destin m’entraîne Plonge les yeux ! — Je suis amoureux de la reine !
DON CÉSAR.
Ciel !
RUY BLAS.
Sous un dais orné du globe impérial,
Il est, dans Aranjuez ou dans l’Escurial,
— Dans ce palais, parfois, — mon frère, il est un homme Qu’à peine on voit d’en bas, qu’avec terreur on nomme ; Pour qui, comme pour dieu, nous sommes égaux tous ; Qu’on regarde en tremblant et qu’on sert à genoux ; Devant qui se couvrir est un honneur insigne ;
Oeuvre du Domaine public – Version retraitée par Libre Théâtre 18
Qui peut faire tomber nos deux têtes d’un signe ; Dont chaque fantaisie est un événement ;
Qui vit, seul et superbe, enfermé gravement Dans une majesté redoutable et profonde,
Et dont on sent le poids dans la moitié du monde.
Eh bien ! — moi, le laquais, — tu m’entends, eh bien ! Oui, Cet homme-là ! Le roi ! Je suis jaloux de lui !
DON CÉSAR
Jaloux du roi !
RUY BLAS
Hé ! Oui, jaloux du roi ! Sans doute. Puisque j’aime sa femme !
DON CÉSAR
Oh ! Malheureux !
Sachant que mes deux sous parti sont
-héros romantique
Et
- Fatalité de son destin
Merci à vous en espèrent que vous pourriez m’aider.
bonne journée ;)
1 Réponse
-
1. Réponse niogret2m
Réponse :
Acte 1, scène 3.
La scène de l'aveu
Ruy Blas, un héros romantique :
- un personnage de condition modeste : il est valet de don Salluste de Bazan
- une aspiration démesurée
- un être torturé par cet amour impossible
- un personnage émotif, sensible
- une victime de la société qui ne lui accorde pas la place de son mérite
- torturé par un conflit interne "le ver amoureux d'une étoile".
(Par comparaison, le héros classique est un personnage de haut rang qui se distingue par ses hauts faits, son courage, son honneur)
Explications :